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J'aime les fêtes de fin d'année ! - Partie 2 : Nouvel An

Le 31 décembre arriva lentement alors qu’il y a quelques jours, j’étais à la merci de mon beau-frère, soumis à ses vingt-quatre centimètres de queue, à ses pieds immenses et à la puissance de ses muscles… Et avec qui allais-je passer ce soir de réveillon ? Avec lui entre autres, et chez lui de surcroît… La fête allait battre son plein !

J’arrivais un peu en retard ce soir-là, si bien que les deux couples invités par ma sœur et mon beau-frère étaient déjà présents lorsque je sonnai à la porte. C’est Mathieu qui se précipita pour m’ouvrir, il me salua comme d’habitude ; une poignée de main qui s’accompagna cette fois-ci d’un clin d’œil qui m’a fait sourire. Il m’a alors fait entrer, j’ai posé mes affaires dans l’entrée pour aller saluer les convives que je n’étais pas censé connaître. Je m’aperçus alors très vite que la femme d’un des couples était enseignante dans le même lycée ou je travaille. J’allais pouvoir bavarder avec elle, j’appréhendais en effet cette soirée, étant donné que je n’avais aucune information sur les invités et étant donné la beaufitude de Mathieu, je m’attendais au pire ! Mais tout va se passer pour le mieux…

« Je vais t’aider à monter tes affaires dans la chambre p’tit frère ! J’ai préparé ton lit et ta chambre » dit ma sœur qui avait mis les petits plats dans les grands pour ma venue. C’était la toute première fois que je venais dormir ici.

« Non chérie, laisse donc, ne bouge pas, je vais m’occuper de montrer sa chambre à Jared, tu t’es déjà donné assez de mal à tout préparer le repas, je peux faire ça… » Rétorqua Mathieu, qui était d’une humeur particulièrement joviale ce soir. À quoi s’attendait-il ? On ne va pas avoir la chance de dormir dans le même lit à chaque fois. À moins qu’il se mette totalement minable et que ma sœur exaspérée lui dise d’aller dormir dans le canapé. Mais quand bien même, il ne va pas venir dormir avec moi, cela paraîtrait louche. On monta alors, lui et moi, à l’étage, pour déposer mes affaires dans la chambre d’ami. Il me dit alors : « Retire ton jean et ton caleçon et remets ton jean, je veux voir ta grosse bite se balader le long de ta cuisse, et n’oublie pas, tu es ma salope ! » me dit-il juste avant de fermer la porte. Je m’exécutais donc avec un peu de honte mais surtout beaucoup d’excitation. Puis je redescendis tranquillement les escaliers pour rejoindre tout le monde.

La soirée reprit alors corps, l’apéritif, puis le repas succulent que ma sœur avait préparés. Le fameux passage à l’année suivante eut lieu pendant le dessert. Les baisers ainsi que les vœux s’échangèrent alors entre tous, Mathieu me fit même la bise pour l’occasion, ce qui fit beaucoup rire ma sœur, un hétéro pareil, taper la bise à son frère homo, relevait en effet de l’irréel. Si elle savait où il avait fourré sa queue la nuit de Noël… Enfin… Trois heures sonnèrent, et les bouteilles d’absinthes totalement vides, les deux couples d’un commun accord, prirent la porte non sans aider ma sœur à ranger un peu. Ils partirent me laissant seul homme face à Mathieu. On aida alors aux derniers rangements qu’il restait à faire, l’essuyage de la vaisselle était pour Mathieu tandis que je passais l’aspirateur. Ma sœur dit alors qu’elle était totalement lessivée et qu’elle montait se coucher. Mathieu proposa alors une bière devant la télévision, j’aurais été vraiment bête de refuser. Ma sœur partit donc se coucher dans la chambre à l’étage, tandis que Mathieu amena deux bières sur la table du salon, alluma la télé et mis la chaîne des sports ! Génial, j’adore…

« Je n’ai pas arrêté de mater ton paquet pendant l’apéro tout à l’heure, c’était trop bon de voir ta queue totalement libre dans ton jean, mais tu peux tout retirer et te mettre à quatre pattes devant moi maintenant ! »

Encore une fois, j’exécutais ses ordres, je ne me voyais pas faire autre chose de toute façon. Et puis une telle queue, cela ne se refuse pas ! Je lui demandai tout de même si ce n’était pas dangereux, que ma sœur pouvait arriver à tout moment. Il confirma, on comata alors quelques minutes devant la télévision attendant que la maison soit dans le silence le plus éloquent. Puis il me dit que c’était bon désormais, que je pouvais faire ce qu’il m’avait demandé.

Je retirai donc ce qu’il me restait comme vêtements, c’est-à-dire une chemise, un jean et ma paire de chaussettes blanches, les chaussures étant restées dans l’entrée. Je me retrouvais donc nu devant l’Homme, je me positionnai alors à quatre pattes face à lui, il me dit de me retourner, je lui présentai donc mon cul rasé de la veille. J’eus droit à un «Bonne chatte ! » pendant qu’il commençait à me titiller le trou. Il prit alors sa bière, en versa un peu sur le bas de mon dos pour que mon trou soit humidifié. Il continua l’exploration de mon cul en y mettant un doigt puis deux, c’était une situation si excitante que je me retins de ne pas gueuler ma satisfaction. Malgré tout, je poussais quelques gloussements de plaisir afin de lui montrer que ce qu’il m’imposait était pour moi un pur délice.

Il m’ordonna ensuite de me retourner, je me retrouvais encore face à lui, totalement nu et offert, mon cul était encore bien ouvert et ne demandais qu’une seule chose : se faire ramoner par sa belle et grosse bite, qu’il claque ses couilles contre les miennes, qu’il me prenne aussi sauvagement que la dernière fois ! Il était là, avachi sur le canapé, une bière à la main et encore totalement habillé. Il sortit alors son engin déjà bien bandé qu’il me dit de sucer. Il semblait absorber par les programmes de sport à la télévision pendant que je lui offrais des gorges profondes à en faire pâlir les plus grandes stars du porno, mais je sais qu’il aimait ce que je lui infligeais. Il matait toujours la télévision alors que sa main vint se poser sur le dessus de ma tête, il attrapa mes cheveux pour donner le rythme qu’il voulait pour la fellation que je lui donnais, un rythme assez rapide. Puis il retira d’un seul coup le hochet de ma bouche.

« Assez de gamineries, passons aux choses sérieuses » lança-t-il. Ma queue se mit alors à frémir, j’allais enfin pouvoir me prendre à nouveau sa belle bite bien au fond de mon fondement. Il me dit alors de rester dans la position ou j’étais, à quatre pattes, ma tête en direction du canapé. Il prit tout de même la peine de retirer sa chemise blanche, son jean ainsi que son boxer. Il ne lui restait que ses chaussettes de sport sur ses pieds puants et ses mollets poilus. Il passa alors derrière moi, prit ma tête pour l’enfoncer dans le canapé en cuir. Il alla chercher un bon mollard qu’il cracha dans sa main et qu’il passa ensuite sur sa grosse queue déjà bien mouillée de la pipe que je lui avais offert auparavant. Je passai mes doigts sur mon cul, pour voir si celui-ci était lubrifié, il retira alors ma main avec violence. Il posa son gland épais sur ma chatte. Il me susurra alors ces mots à l’oreille « Ce soir, tu vas prendre cher, évite d’hurler ! » avant de s’enfoncer d’un coup d’un seul au fond de mes entrailles. Je hurlais dans le canapé tant la douleur était intense. Il resta immobile durant quasiment une minute, il devait jubiler intérieurement. Briser en deux un petit pédé rien qu’avec sa queue, ça le faisait bander au plus haut point, j’en suis convaincu. Puis le pilonnage intensif prit le dessus. Il m’encula comme jamais on ne m’avait encore enculé, d’une force, d’une puissance, d’une intensité sans nulle autre pareille. J’avais toujours la gueule bien enfoncé dans le canapé, afin que mes cris puissent être cachés. Puis il sortit de mon cul, il me dit de venir le pomper. Je m’exécutai alors sans broncher, tant je dépendais de sa queue. Ce connard aurait pu tout me demander, tant qu’il m’enculait sans ménagement, j’aurais été d’accord. Je le pompai alors comme la chienne que je suis, à quatre pattes devant lui toujours, j’avalais goulûment sa queue, j’alternais gorges profondes et pipe basique, il semblait adorer ça.

Le second round eut lieu quelques minutes plus tard, il me dit de me lever, et en fit de même, puis on alla dans la cuisine, il me dit de poser mon cul sur l’évier. Sans nulle hésitation, je m’empressai de le faire, il vint alors m’embrocher telle une pute. Il avait prévu son caleçon afin d’étouffer les cris qui pourraient sortir de ma bouche. Il m’avait donc enfoncé son boxer dans celle-ci, et pendant ce temps-là sa queue besognait mon cul. Après l’évier, il me porta pour me placer contre le mur, sa bite toujours en moi, il m’encula tout en me portant, c’était réellement divin. Une fois ses bras ne pouvant plus supporter mon poids, il me plaqua au sol, face à lui. Je pouvais observer son torse bien dessiné, poilu à souhait, son visage rempli de sueur, des gouttes perlaient sur son front et son sourire en disait long sur le bien que mon cul lui procurait.

Les mouvements s’accélèrent encore plus en moi, puis il retira le caleçon de ma bouche, il resta face à moi, sorti sa queue de mon cul, la prit en main et la branla à tout va. C’est alors que je pus voir tout son bon jus exploser sur mon torse, les premiers jets atterrirent même sur mon visage. Je me délectais alors de ce sperme qui avait un goût trop âcre pour être dégusté en quantité. Avec ce torrent de sperme répandu sur ma queue et mon torse, il prit ma queue en main et commença à me branler lentement. Au même moment, il rentra sa queue dans mon cul et resta planté là. Mon sperme jaillis à son tour sur mon torse également, le premier jet allant même s’écraser sur la faïence de la cuisine. J’étais donc là, allongé au milieu de la cuisine de ma sœur, totalement recouvert du sperme de son mec et du mien…

Sa queue était toujours en moi, et j’ai compris que les spasmes de ma jouissance l’avaient excité grandement. Il avait à nouveau une gaule impressionnante… « Celle-là, c’est pour ta sœur petite salope de mes deux ! Nettoie tout ça, je ne veux pas qu’elle se doute de quoique ce soit demain. Dépose mes vêtements dans la salle de bain du premier étage. Et fais de beaux rêves ! » Dit-il aussi calmement que les premières paroles qu’il m’avait énoncés en début de soirée.

Je pris alors une quantité phénoménale d’essuie-tout afin d’éponger tout ce jus, je vérifiai les traces sur le parquet ou la faïence, puis me rendit au salon, les bières restaient encore à moitié pleines, je les vidai avant de les jeter. Je pris alors ses fringues, les miennes, je mis les siennes dans la salle de bain. Je gardai tout de même son caleçon, comme une petite vengeance, et allai alors dans ma chambre totalement épuisé, cassé en deux. J’étais totalement vidé et pourtant, les cris que poussaient ma sœur et les gémissements bestiaux de Mathieu dans la pièce d’à côté commencèrent à se faire réveiller ma queue. Je me branlai donc après tant de plaisir reçu, tout en mettant plusieurs doigts dans mon cul. Nous avons joui les trois quasiment simultanément, et j’ai encore jouis des litres de jute… Puis le silence, je m’endormis très vite épuisé par tant d’assauts.

Aujourd’hui, je me branle encore tout en sniffant le calcif de Mathieu et en repensant à sa queue totalement énorme et la manière dont il aimait me bourrer le cul avec. Malheureusement, de telles occasions ne se représentent que très peu souvent… C’est depuis ce jour que j’aime les fêtes de fin d’année, vivement celles de l’an prochain.

Récit par Jared Newborn en exclusivité pour Le SexBlog de GayTom

J'aime les fêtes de fin d'année ! - Partie 1 : Noël

Les fêtes de fin d’année arrivaient tranquillement… Et je n’aimais pas ça… Ce sont toujours les mêmes choses, on se goinfre, on boit beaucoup et bien souvent malgré les sourires forcés, on s’ennuie à en mourir…

Sans déroger à la règle, Noël se passera chez mes parents, avec ma sœur, Mathieu, son beauf de copain ainsi que mes deux petits frères pour le 24 au soir. Le jour de Noël, toute la famille sera là, avec trente personnes au total ! Youpi… J’avais juste à amener le dessert pour le soir, c’était donc assez simple, je dormirais dans mon ancienne chambre chez mes parents tandis que ma sœur et son mec dormiraient dans le salon. Je n’allais tout de même pas leur donner ma chambre ! Je dois tout de même vous parler du mec de ma sœur, oui mon beau-frère si vous voulez… Mais je ne le considère pas ainsi ! Il a la trentaine, un bon mètre quatre-vingt-dix, très macho sur les bords, limite homophobe, il me prend à chaque fois de haut, il sait que je suis pédé, et je pense que ça l’excite au fond de lui ! Que je ne baise pas de femmes, ça doit le titiller ! Ce mec est viril à souhait, un torse bien dessiné et poilu comme jamais je n’avais vu auparavant, des pieds immenses, il m’a dit chausser du 48, et une odeur musqué qu’il trimbale en permanence. De visage, il a l’air bourru, pas spécialement aimable. Enfin, je pense que ma sœur prend cher à chaque fois qu’il la saute, avec son mètre cinquante. C’est débile à dire, mais ce mec, malgré le fait qu’il me dégoûte, m’attire. C’est un monstre dont j’aimerais bien qu’il vienne hanter mes nuits !

Le jour d’avant Noël arriva, et je vins chez mes parents vers dix-huit heures, histoire de poser mes affaires dans la chambre de mon enfance, me préparer pour la soirée et prendre une petite douche également. Ce fut donc retrouvailles avec mes parents et mes frères. Ma sœur et son homme des cavernes n’étaient pas encore arrivés. Je me décidai donc à aller prendre une petite douche, histoire de me rendre présentable, mes affaires sous le bras, j’investiguai donc la salle de bain qui se trouvait juste à côté de ma chambre. Je pris tranquillement ma douche, une fois sorti, je fus surpris par ce gros porc de Mathieu qui était entré dans la salle de bain pour poser le vanity de ma sœur. Et là lui comme moi ne savions plus ou nous mettre. J’étais totalement à poil avec une serviette sur mes épaules, et lui était là tout habillé. Il me dit « Joli p’tit cul ! » en se marrant, et il sorti tranquillement sans rien dire d’autre…Je suis resté coi quelques secondes, je ne savais quoi penser de cette intrusion ! Mise à part que la prochaine fois, je penserais à fermer à clef.

La soirée passa donc, puis plats après plats, Mathieu et moi buvions pas mal, il faut dire que mon père a pour habitude de beaucoup verser. Si bien qu’à la fin de la soirée, les femmes et les enfants allèrent donc se coucher, on resta donc mon père, Mathieu et moi pour finir tranquillement l’absinthe. Puis vînt le moment du coucher, j’allais donc dans ma chambre, je me mis nu comme à mon habitude et filai sous la couette. Je fus réveillé quelques minutes plus tard par une personne qui ouvrait la porte de ma chambre, je ne fus pas inquiet. Je pensais alors que c’était ma mère ou mon père qui passait, par habitude, pour voir si j’avais éteint la lumière ou non. Mais je compris très vite qu’il ne s’agissait aucunement de mes parents.

C’est avec stupeur que s’allongea à côté de moi le gros Mathieu, me disant que ma sœur lui avait dit d’aller dormir ailleurs, tant il puait l’alcool, et vu qu’il ne voulait pas aller dormir avec l’un de mes petits frères, il vint donc vers moi. Je lui dis qu’il n’y avait pas de souci pour moi. Ce serait plutôt à lui de se faire du souci… Mais quelques minutes après ces paroles échangées, je senti sa grosse paluche tripoter mon cul, je me révoltai donc et il me dit : « En plus d’être joli, il est bien ferme, ça doit être trop bon d’y plonger sa queue. Malheureusement, ma queue est bien trop grosse pour un si petit trou… ». C’est alors que je senti dans mon bas ventre une sensation très étrange, cette tirade m’avait fait bander ! Bander au plus haut point. Et je me surpris moi-même de lui répondre, l’alcool se faisant sentir « Tu doutes de mes capacités ? ». C’est avec ces mots que je lui donnai alors toute bénédiction sur mon corps. Il prit alors une de mes mains afin de la glisser dans son caleçon déjà bien déformé par la taille majestueuse de son engin. Je fus alors surpris par le mandrin que j’empoignai, j’avais l’habitude des gros calibres, mais celui me paraissait énorme, surtout sur la largeur…

« Suce ! » retentit. Je ne me fis pas prier, je me levai un peu pour poser ma bouche sur cette queue déjà bandée au maximum. Je pris d’une main ses couilles et de l’autre, je fis le mouvement habituel de branle pendant que je suçais les dix premiers centimètres de sa belle queue. Ce manège dura un bon moment, puis il prit ma tête dans ses mains, me fit passer la tête au-dessus de sa queue, je me retrouvais ainsi accroupi entre ses jambes en train de pomper l’énorme dard qui s’offrait à moi. Les mouvement sur ma tête se faisaient de plus en plus pesants et allaient de plus en plus profond. Si bien que je me retrouvais très vite avec une monstrueuse envie de gerber. Il le comprit et relâcha ma tête, il prit sa queue en main, pour la branler, et me dit pendant ce temps-là de lécher ses couilles. Ces dernières étaient poilues à souhait, c’était donc peu agréable, mais je voulais le contenter. Je ne m’aventurai pas à goûter son trou du cul, j’avais peur de ses réactions. Quelques minutes plus tard, je reviens sur sa queue, pour la lécher de haut en bas, sa respiration s’accéléra alors, je posai mes lèvres autour de ce gland que j’imaginais violacé afin de recueillir le jus de ce bon mâle que j’avais en horreur. C’est une bonne quantité de jus qu’il lâcha dans la bouche de son beau-frère. J’avalais ce nectar que j’adorais boire à toute heure…Puis j’allai me remettre à ma place, allongé à ses côtés, satisfait qu’il ait joui, je n’aurais pas à prendre ce monstre dans mon cul. Et d’un autre côté, je dois aussi avouer que j’étais frustré qu’il ait juté si rapidement.

« Qu’est-ce que tu fous ? » qu’il me lance. Je lui répondis alors qu’il venait de jouir, que voulait-il de plus ? « Ton cul ! » me répondit-il du tac au tac. Je confirme donc, ma sœur prend chaque soir très cher, à moins qu’il profite du fait que je sois une petite chienne… Je lui ai fait comprendre que ça ne passerai pas si facilement dans mon fondement… Alors qu’il fallait du lubrifiant, il se leva alors et fila à la salle de bain, il revint avec la bouteille de lubrifiant espérée. Tu m’étonnes qu’il en ait dans son sac, vu la taille de sa bite ! Il me confia le tube et me dit de me mettre à genoux au bout du lit, de me doigter le cul et de me préparer aux assauts de son engin sur-dimensionné. C’était assez humiliant de devoir se préparer alors que monsieur me regardait tout en se paluchant la teub. A la lumière, je pus enfin apercevoir l’ampleur de ce que Mathieu avait entre les jambes, et c’en était encore plus impressionnant. Il me demanda de me mettre à quatre pattes et de continuer à me doigter, il vient alors se placer sous moi, sa bite quasiment au niveau de mon cul, ses pieds au niveau de ma main posée sur le lit. J’en étais à quatre doigts bien enfoncées, il me dit alors de lui passer le gel, ce que je fis avec précipitation, je ne voulais pas qu’il m’explose le cul…

« Lèche mes orteils » entendis-je, « J’ai toujours rêvé qu’on me le fasse, et je pense que c’est à toi que reviendra cet honneur », je ne me fis pas prier, j’aime tant ça…Surtout un bon 48. Pendant que je dégustais ses pieds, ses doigts prirent place dans mon cul. Les vas-et vient qu’il effectuait présageaient un bon baiseur, ça me rendait chienne ! Je ne vivais plus que pour une chose : me prendre cette grosse bite dans le cul. Il le comprit vite, et c’est dans cette position qu’il avait décidé de commencer à m’enculer. À ma grande surprise, il rentra doucement dans mon cul déjà bien préparé, je le sentais malgré tout s’enfoncer peu à peu bien au fond de moi, j’étais en transe, j’avais envie de faire échapper de grands cris de satisfactions, mais je savais que cela était totalement impossible. Je me retenu donc de hurler mon bonheur. Et puis, je sentis ses couilles bien pendantes frapper les miennes. Il était au fond, bien au fond. Et c’est à cet instant précis que Mathieu, cet être gras, beauf et totalement inutile se transforma en un petit bonheur dont je vais savoir profiter encore longtemps… Après ce premier allé, le rythme n’était plus le même. Il ressortit d’abord totalement sa queue d’un seul coup, avant de s’enfoncer à nouveau de tout son long. Puis son tempérament bourrin reprit vite le dessus. Il empoigna mon bassin, il y était agrippé pour être plus précis, et le faisais coulisser pour y mettre sa queue bien à fond, que je sente bien toute sa virilité en moi. On changea de positions plusieurs fois, celles-ci étaient de plus en plus avilissantes. Il me demanda même de lécher ses orteils alors qu’il était toujours planté au fond de moi. La sodomie dura des dizaines de minutes, et je dois dire qu’au moment où il a dit qu’il allait jouir, mon cul était en compote, je ne sais même pas si j’arriverais encore à marcher au lendemain. Il jouit donc une seconde fois et cette fois-ci, c’est mon torse qui eut le privilège de récupérer le précieux nectar. Cinq secondes plus tard, il me dit de « bourrer mes viandes », et il s’écroula sur le lit telle une masse. Il me laissait là, son jus partout sur moi, encore raide des assauts qu’il venait de me donner. Je le déteste.

Au lendemain, il fit comme si de rien n’était, je me réveillais, j’étais seul dans mon lit. Avais-je rêvé ? Je mis une main vers mon trou et compris très vite que ce n’était pas un rêve étant donné l’état meurtri de mon postérieur… J’allai donc prendre le petit déjeuner avec les autres, dans la totale indifférence de Mathieu. Ma sœur me demanda alors si j’avais bien dormi, je lui ai dit que j’avais été un peu dérangé par les ronflements d’un gros sac, mais que sinon, dans l’ensemble, j’avais trouvé le sommeil assez facilement. Elle me demanda aussi ce que j’avais prévu pour le nouvel an. Rien encore, Mathieu se réveilla donc de son semi-silence et me proposa de venir chez eux, ils organisaient nouvel an avec deux couples d’amis à eux, et que je n’avais qu’à dormir la bas, ils ont une chambre d’ami à l’étage. Ça promet…

Récit par Jared Newborn en exclusivité pour Le SexBlog de GayTom, merci beaucoup à lui ;)

Jeune étudiant en chaleur, suite et fin

Fin du récit de Jared Newborn "Jeune étudiant en chaleur"
Retrouvez l'intégralité du récit ICI
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J’avais tout de même passé un excellent moment avec ce mec à qui je donnais un cours il y a un jour encore.

Mais mon sexe ne pensait pas du tout la même chose. Eh oui, je n’avais pas encore jouis. Je pris donc mon téléphone afin d’envoyer un SMS à une lope sur la route du retour qui me répondit par la positive. Oui, c’est une lope, et les lopes sont là pour ça. J’arrivai chez elle, et la traitai comme une merde, lui déballai ma queue qu’il s’empressa d’avaler, je lui dis alors de se retourner en lui disant qu’une meilleure bouche que lui m’avait déjà sucé ce soir. Il tirait la gueule, mais je n’en avais absolument rien à foutre. Il me présenta alors son petit cul qui était déjà bien ouvert. Je passai une capote sur ma queue, pour la seconde fois de la soirée, et rentra sans ménagement dans cette sous-race humaine. Il hurla, je lui fis donc bouffer mon caleçon pendant ce temps-là. Je lui labourai l’anus durant trois quart d’heure environ dans toutes les positions. Mais quand je le regardais, jamais je ne pensais à lui, je pensais à Manu. Je l’enculai tout en plaçant mon pied dans sa gueule, en lui collant des monumentales claques. Puis je sorti de son cul et lui dit d’approcher son visage et j’éclatai de tout mon être sur son visage encore tout rouge des assauts que je venais de lui faire subir. Les trois premiers jets atterrirent derrière lui tandis que les six suivants vinrent se poser sur son visage. Il était entièrement recouvert de mon jus, je remis mon jean, mon sweat et mes skets et reparti directement de chez lui. Le laissant recouvert de jus et totalement humilié. Rien à foutre de ce mec.

Je rentrai chez moi, il restait à peine trois minutes de route, il était déjà deux heures de matin mais dès mon arrivée, je me connectai à MSN afin de rentrer son adresse et peut être lui parler. Il était encore connecté et me dit qu’il se demandait si j’allais entrer son adresse ou non. Je le rassurai en lui disant que j’avais beaucoup aimé ce moment. Et qu’on serait sûrement amener à se revoir. Je lui avais plu aussi, et c’était le principal.

Pendant plusieurs jours, on bavardait ensemble, mais mes cours comme les siens prenaient beaucoup de temps, on ne pouvait donc pas spécialement se voir rapidement. Mais on échangea des photos, des liens. Je lui montrai donc mes photos et vidéos sur les sites que je fréquente. Je lui dis aussi que j’écris, entre autres, des histoires érotiques, parfois plus trash. Alors il veut en savoir plus, je lui montre donc ce que j’écris. Et il me dit qu’il avait déjà lu une de mes histoire sur un site ou j’avais offert quelques-unes de mes histoires. Marrant ! Et il n’était même pas choqué par certaines de mes histoires, même si il m’avoua qu’il serait totalement incapable de faire certaines de ces choses. Il me demanda si toutes ces histoires étaient réelles, et je lui dis comme à chacun que tout est basé sur des faits réels, que tout ce que je raconte vient d’histoires que j’ai vécu. Il en fut surpris mais intéressé également.

Le lendemain à midi, nous avions chacun une heure et trente minutes le temps de midi, nous décidons alors de se voir, mais c’était impossible chez moi. Alors on prit rendez-vous chez lui. Le seul hic, c’est qu’il vit en collocation. Heureusement pour nous, son coloc’ n’était pas là ce midi, mais il pouvait arriver d’une minute à l’autre. Il m’accueillit en boxer rose très aguicheur, il me fit venir directement dans sa chambre. Il me déshabilla, sorti ma queue et se mit à me sucer. J’étais tellement chaud que je mis vraiment très peu de temps à lâcher tout mon jus. Il garda mon sexe en bouche pour l’éjaculation, je crois qu’il en a même avaler un peu. Le reste coula sur mon ventre. Puis il vint quelques secondes après se répandant sur mon torse. Encore une fois ce sont des jets très liquides qui se répandirent sur moi. Que j’aimais ça !

A peine avait-il finit de jouir que l’on entendit plusieurs voix entrer dans l’appartement. Son coloc’ rentrait et il avait dû amener plusieurs de ses amis. J’essuyai mon torse en quatrième vitesse, et on se rhabilla tout deux. Juste à temps avons-nous pensés. Il me demanda de sortir, je dis bonjour à son coloc’ et à ses amis puis je sorti de chez lui. Encore une fois, je n’ai pas été déçu.

Depuis, on parle très souvent sur MSN ou par SMS, mais nous nous ne sommes pas encore revus. Mais il m’a dit récemment qu’il aimerait beaucoup que je le soumette comme dans les histoires que je raconte. Qu’il aimait la pisse. Et qu’il aimerait que je fasse de lui une petite lope bien docile et obéissante. Il y a moyen de faire quelque chose. Mais est ce que j’ai envie de cela avec lui ? Je me pose encore pas mal de questions… La vie saura m’apporter les réponses.

Jeune étudiant en chaleur, 2ème partie

Suite de "Jeune étudiant en chaleur" de notre ami Jared Newborn

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J’étais donc à l’heure le soir même, il arriva avec quelques minutes de retard. Il était vêtu d’un jean plutôt moulant, un T-shirt blanc, une veste noire ainsi qu’un foulard blanc. Il portait des Ben Simon aux pieds, et était coiffé tel un petit mannequin des magazines, on voyait qu’il prenait soin de lui. Il était parfait.

Il prit un sirop à la grenadine, je pris un jus de fraise, et la discussion s’engagea sur la politique, sur la crise actuelle, sur sa classe et les élèves qu’il sait faire taire lorsque que ceux-ci font des remarques désobligeantes à son égard, il voulait refaire le monde. C’était vraiment passionnant ! Et la conversation dévia sur ses déboires amoureux, puis sur le sexe. J’étais très désinhibé à ce niveau-là, je parlais sans vergogne de ce que j’aimais sexuellement. Je compris très vite qu’il était passif, mais il me le confirma. Et que son caleçon était très bien rempli.

Sur ces paroles, et sans réellement réfléchir, je lui proposai d’aller chez moi, que je le ramènerai ensuite en voiture. Les bus après minuit sont peu nombreux. J’habite à quelques kilomètres de la ville de Besançon, on avait environ dix minutes de route. On monta dans la voiture, j’allumai le contact et je n’avais qu’une envie : l’embrasser. Ce que je fis. Il était surpris mais semblait ravi et comblé.

On arriva dans mon appartement, on commença lentement à se déshabiller, tout en se caressant et s’embrassant lentement. Nous fûmes très vite tout les deux en caleçons, et ses dires se vérifièrent. Il avait un sexe particulièrement imposant. Il fut lui aussi très étonné de la bosse que formait ma queue dans mon boxer. Je ne lui en avais pas encore parlé de ce qui fait couiner toutes mes lopes : mon sexe très massif et surtout super épais. Il commença à lécher lentement mon torse et descendit peu à peu vers mon sexe encore recouvert par le boxer. Il prit le gland en bouche et me dit que c’était vraiment énorme.

Il était là, à genoux devant moi, c’est alors que je retirai mon boxer et lui posai mon sexe sur son visage tout ébahi. Il prit sa main droite pour en mesurer l’ampleur tout en me congratulant. Je n’y étais pas pour grand-chose, mais c’est toujours flatteur. Il faisait à peine le tour avec ses doigts de ce monstre qui me servait de queue. C’était terriblement excitant ! Il commença donc à me sucer goulûment ! Il n’y allait pas de main morte et je peux vous dire que sa technique de suce est réellement à tomber. Il savait y faire le minot ! Il me suça une bonne demi-heure sans se plaindre aucunement. Je caressai ses cheveux pendant tout ce temps. Parfois même, je lui choppai la tête pour lui mettre au plus profond de sa gorge. Mais il n’était pas réellement amateur des gorges profondes. Je me suis donc dit que ce serait un plan soft, ce n’était pas ma lope, et j’avais envie de sensualité. Ça me changera après tout.

Puis je m’assis sur mon lit, lui fit signe de se relever. Son boxer était maculé de sa généreuse mouille, je commençai à lécher ses cuisses, son torse, son nombril tout en le branlant à travers son boxer. Puis je retirai ce dernier pour libérer la queue de mon jeune éphèbe. En effet, une très jolie queue. Vingt centimètres de chair, d’une épaisseur plutôt respectable, et courbée vers la droite. Une réelle beauté. Elle était recouverte de mouille que je m’empressai d’avaler. J’aime tant ça ! Je ne sais pas s’il l’a fait exprès mais sa queue sentait bien la queue. Pas comme ces minets trop propres sur eux. Une bite doit sentir le mec, un point c’est tout. Il était totalement rasé, de la tête aux pieds, ce qui rendait son corps encore plus beau. Je caressai lentement ses fesses pendant que je lui administrais une pipe de folie ! Plusieurs fois, il me dit de ralentir la cadence, qu’il ne voulait pas libérer toute sa semence de suite. Cela faisait plusieurs jours qu’il ne s’était pas branlé. Ou en tout cas qu’il n’avait pas lâché la purée.

Et il me dit : « J’ai jamais pris une queue aussi grosse dans mon cul ! Alors je la veux… » Mais pas de souci mon petit ! Tu vas la sentir dans ton cul, crois-moi ! J’allai donc chercher du gel ainsi que des capotes, j’en mis une sur mon gland qui était encore plus gros que d’habitude tant ce jeune mec m’excitait. Il prit du gel et commença à se doigter, il semblait s’ouvrir assez facilement, et il me dit que pour plus de facilité, il aimerait que je me place sur le dos, et qu’il s’empalerait ! Là aussi j’approuvai, c’est une de mes positions favorites, une des seules ou la queue peut rentrer bien à fond dans le fondement du mec. Il s’installa donc sur ma queue en me disant « Depuis le temps que j’attends ce moment… ». Avec douleur et tout en se branlant, il descendait lentement sur ma queue bandée à mort. Puis son cul toucha mes couilles, c’est alors que malgré lui, il lâcha toute sa purée sur mon torse. Sans aucun mouvement dans son cul, sans aucun va-et-vient, tout son jus sorti de sa queue. Il y en avait des litres. Il jute très liquide, et ce sont facilement dix jets qui se sont répandus sur mon torse. Il s’excusa alors…Il était très gêné d’avoir jouis trop vite. Et je le compris très vite, il fonctionne comme moi…Juste après avoir éjaculé, il ne peut plus faire grand-chose

Mais j’étais encore planté en lui, avec ma queue bien à fond, je fis quelques mouvements tout de même…Puis il se retira très vite. Ce que je compris. J’enlevai la capote et il me demanda si je voulais jouir. Je lui ai dit « Tu veux me sucer et avaler ? » Il répondit par la négative alors je lui répondis que je ne jouirais pas, qu’il ne le méritait pas ! Je ne sais pas comment il l’a pris, mais c’était juste une petite blague. Après tout, c’est plutôt flatteur de faire jouir un mec en y rentrant juste sa queue sans même faire de mouvements.

On se rhabilla donc tranquillement, et on se fit un petit câlin avant que je ne le ramène chez lui. Il me remercia encore et me donna son adresse MSN, pour qu’on puisse parler plus facilement. Et je rentrai, le sourire aux lèvres. J’avais tout de même passé un excellent moment avec ce mec à qui je donnais un cours il y a un jour encore.

Mais mon sexe ne pensait pas du tout la même chose....

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La fin la semaine prochaine ;)
Commentez pour me dire ce que vous en pensez, s'il vous plait

Nouvelle Histoire : Jeune étudiant en chaleur, 1ère partie

Notre ami Jared Newborn nous conte les suites de son éducation ! Avec l'age, il semble s'être calmé un peu ... enfin on dirait...
Voici donc, "Jeune étudiant en chaleur", récit tout frais et totalement inédit pour le SexBlog de GayTom, merci Jared ;)

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Après ma licence, j’intégrai un master de l’enseignement. Cette année, je débutai les stages dans une classe de BTS. En tant qu’observant uniquement. J’ai donc suivi pendant trois semaines un enseignant d’économie et de droit dans ses trois classes d’enseignement supérieur. Je dus bien sûr faire une brève présentation de moi devant ces classes. J’avais d’abord pensé à dire « Bonjour à tous ! Je m’appelle Jared Newborn, je vais suivre durant trois semaines vos classes afin d’apprendre ce qu’est le métier d’enseignant. Et je suis gay ! » Mais au final, j’occultai la dernière partie de ma phrase.

Une partie des élèves de cette classe étaient encore plus âgés que moi, en effet j’ai seulement 22 ans. Mais il y avait aussi de très jeunes bachelier, un notamment retenu mon attention car il me fixait en permanence. Il s’appelait Manu. J’allais m’asseoir au fond de la salle en général, les élèves avaient bien compris cela et me laissaient à chaque fois une place pour que je puisse prendre aisément des notes, car c’était là le but de mon stage. Mais durant ma dernière semaine de stage, j’eus Manu qui se plaçait automatiquement seul à la dernière table, afin que je puisse me mettre à ses côtés. Ce qui ne me dérangeai pas vraiment, mais j’appréciai que peu ce rapprochement qui se faisait durant les heures de cours.

Un jour, il fit un geste plus brusque que les autres et sa main effleura ma cuisse. Je ne sais pas qui était le plus gêné d’entre nous. Ce qu’il y a de sûr, c’est que c’était intentionnel. J’en étais persuadé ! Ce petit incident nous fit tout de même sourire. Ce jeune homme avait un sourire absolument radieux. Manu était un jeune apollon de dix-huit ans à peine. Il mesurait un peu plus d’un mètre quatre-vingt, il était brun et son corps semblait tout droit venu de la Grèce Antique. Je ne l’avais encore pas vu nu mais dans ses petits hauts moulants, on devinait à merveille son corps glabre. Il était d’une timidité maladive, et c’est peut-être ce détail qui le rendait beau.

Puis vint l’instant du dernier cours avec cette classe. Il est alors prévu dans ma formation que le dernier cours soit donné par l’étudiant devant la classe entière ainsi que devant le professeur. Ce cours avait pour but de présenter les différents tribunaux français. Je donnais donc un cours magistral d’environ quarante minutes pour bien leur faire assimiler la différence et l’enjeu de ces différents tribunaux. Puis un exercice d’application d’environ quinze minutes pour voir si le cours a bien été compris. C’est bien sûr Manu que j’interrogeai, il ne fit aucune faute et j’étais plus que satisfait. Il semble que mon enseignant tuteur soit lui aussi très satisfait de moi.

Ces trois semaines de cours furent épuisantes pour moi. Ce métier n’est pas si facile que cela, je rentrai donc tranquillement chez moi, sorti les clefs de ma poche. C’est alors avec une surprise assez énorme que je trouvai un petit mot qui disait « Vous êtes vraiment magnifique. Si vous aimeriez me revoir, voilà mon numéro de téléphone…Manu. »

Je ne savais que faire. J’ai dû rester pas mal de temps avec le mot sous les yeux, à réfléchir, à me demander si c’était correct ou non. Et puis je me décidai au bout de quelques heures à lui envoyer un petit SMS, pour le remercier de ce mot tout en lui disant que si je me retrouvais à nouveau dans sa classe pour mon second stage, que ce ne serait peut-être pas excessivement drôle et surtout totalement immoral. Il me répondit, non sans vergogne, qu’il ne voyait pas ce qu’il y avait de mal à aller boire un verre ensemble. Et qu’il fallait profiter de la vie. Je réfléchis encore et encore et terminai par me dire que si je commençai déjà à coucher avec mes élèves, que ma carrière n’irait pas très loin. Et d’un autre côté, il a seulement quatre ans d’écart avec moi, et puis je dois avouer que je ne suis pas resté insensible à son charme.

Je lui répondis le lendemain que j’étais d’accord pour que l’on se voie le soir même dans un bar à l’extérieur de la ville, afin de ne pas croiser d’éventuels élèves, cela pourrait être aussi gênant pour lui comme pour moi. Il me fit alors comprendre qu’il n’avait même pas le permis, mais qu’il se débrouillerait avec les bus pour venir à ce bar. Rendez-vous pris à vingt heures pour « juste » bavarder un peu dans un milieu moins risqué que durant les cours au lycée.

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La suite la semaine prochaine ;)
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Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo... : 4ème et Dernière Partie

Dernière partie du récit avant un tout nouveau dès la semaine prochaine, en principe !

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12h00 arriva péniblement, je peux vous dire qu'au bout de dix queues, très voraces sois-je, j'en avais un peu marre, les crampes à la mâchoire commençaient à se faire sentir, et la salive à manquer ! Mais je m'appliquais à bien sucer, pour leur montrer que les gays, ils en ont dans le slip ! Cela faisait cinq minutes que plus personne ne poussait la porte des chiottes, je m'apprêtai à sortir lorsque Théo entrai. Il me balança "Tu vas où comme ça ? Tu crois pas t'en sortir si vite ? Et ma queue elle mérite pas quelque chose pour t'avoir régalé toute la matinée". Je lui répondu par la positive bien que ma bouche réclamait du repos, j'ai alors repris ma place sur les chiottes et ai pompé comme une petite chienne mon nouveau maitre. J'entendis un raclement de gorge, et vis tomber un mollard entre ses poils de bite et ma bouche. "Ça manque de salive tout ça ! Tu ne trouves pas ?". Je ne détestais pas l'idée, je m'exécutai encore plus vite sur sa queue afin de le vider, mais je sentais que ça lui convenait pas !
"Ça manque d'entrain tout ça Jared, c'est pas comme hier soir ! Moi qui pensais avoir une bonne petite larve à moi, je me suis trompé. Lève toi, déboutonne ton pantalon et montre moi ton cul" me lâche t-il.

Je crois qu'à cet instant, j'ai remercié le ciel et ai pensé "Oui ! Vas-y prends mon cul tant que tu veux !" et pendant ces réflexions internes, de grandes claques s'abattaient sur mes fesses jusqu'à la pénétration sans gel, sans préparation, et sans capote ! D'un coup, d'un seul il m'avait embroché, j'avais beau crier, ça ne l'arrêtait pas une seconde. La pénétration dura quelques minutes avant qu'il ne répande son sperme brûlant dans mes entrailles. Et il me laissa là. La gueule recouverte de jus des potes et son jus bien au fond de mon fondement. C'était le weekend heureusement ! Je pus me reposer, et c'est à partir de cet instant que je suis vraiment devenu leur pute. Ce rituel s'est reproduit plusieurs fois durant les dernières semaines de cours qu'il restait. Ils m'invitaient parfois chez eux pour des soirées entre amis qui se terminaient toujours mon cul et ma bouche occupés par leurs grosses bites ! On a même fait des plans dans des lieux publics genre bowlings, restaurants. J'étais une pute et j'aimais ça.

Aujourd'hui, l'année scolaire est terminée et je subis bien tant que mal mon stage de fin de cycle. Je repense souvent à tout ce qu'ils m'ont fait faire cette année, toutes les humiliations que j'ai subi, toutes les queues que j'ai sucées. Mais surtout aux litres de foutre que j'ai avalés ces derniers mois. Vivement l'an prochain, ou l'année de master n'aura jamais si bien portée son nom...

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Retrouver l'intégralité du récit, en un seul morceau, ICI et si vous aimez, commentez SVP que je sache si il faut continuer à publier les récits de notre ami Jared

Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo... : 3ème Partie

Voici la troisième et avant-dernière partie du récit de mon ami Jared Newborn.
N'hésitez pas à commentez pour dire ce que vous en pensez.

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Ni une, ni deux, je m'empressai d'aller l'ouvrir pour voir ce que nous dit l'hétéro déchu.
"Salut Jared !
Désolé pour ce qui s'est passé tout à l'heure. J'étais plus tout à fait moi, j'avais bu et tu as parlé de cul et vu qu'en ce moment, c'est pas l'éclate avec ma meuf, j'ai succombé ! Je suis parti juste après mais c'est pas ta faute, je me sentais juste coupable.
A demain p'tite salope à queues."
Qu'est ce que j'en ai à foutre de ces problèmes. Il se prend bien la tête pour pas grand chose, je l'ai sucé, c'était bon. Si ça se reproduit, je dirais pas non et si c'est pas le cas, tant pis ! Mais, au passage j'avais cru comprendre qu'il en avait plein les burnes ! Vu la dose qu'il m'a mise !

Je file au dodo, réveil a 9h00 demain matin, ça va être dur je pense. La nuit passe, je me rends à mon cours le matin dans l'amphi Courbet, plusieurs de mes amis de promo sont là, je vois Théophile qui est là aussi. Je salue donc tout le monde, rien n'est anormal, donc je pense que Théo n'a rien dit de ce qu'il s'est passé tard dans la nuit. Je m'installe donc lorsque Théo me pris par le bras, il avait quelque chose à me dire "en privé", je le suivis donc à l'extérieur de l'amphi. "Je vais pas y aller par quatre chemins, les autres sont tous au courant pour hier soir et maintenant, ils veulent vérifier ce que tu leur as dit, et ce que je leur ai confirmé. Alors on a élaboré un emploi du temps de pute pour toi ce matin, douze mecs collaborent, entre 10h00 et 12h00, tu vas attendre les mecs dans les deuxièmes chiottes là haut, et tu les videras tous comme tu as fait hier soir. Ne t'inquiète pas pour tes cours, je te prends tout ce qu'il faut". J'étais abasourdi, il a débité ça en une tirade ! Je ne savais que faire et quoi lui répondre. Je lui ai donc dit que je ne pouvais pas sécher les cours. Il me prit alors par le cou et me rétorqua "T'ai-je demandé ton avis petite pute à jus ? Tu obéis, t'es une salope, notre salope, et tu vas désormais nous obéir sans broncher !".

C'était clair, je pense que je n'avais plus le choix. Je devais me faire à cette idée de faire la pute et le vide couilles pour la dizaine de mecs de ma promo. Tout au fond de moi, j'avais ce sentiment que c'était pas bien de faire ça, mais finalement, j'ai toujours rêvé d'être un esclave sexuel, c'est l'occasion ! Être la pute de toute une ribambelle de mecs prétentieux et machos, quoi de mieux ?

Théophile rentra dans la salle pour me chercher mes affaires, puis me les rapporta, le cours allait commencer, j'allais donc me positionner ou l'on m'avait dit pour servir de vide couilles ! Ils arrivèrent un par un, et à chaque fois c'était le même manège, je ne devais pas toucher leurs torses ou quoique ce soit ! Ils sont pas pédés ! Laissez moi donc rire ! J'en vis donc, cette matinée, de toutes les formes, de toutes les couleurs et de toutes les odeurs. Certains se vidaient en quelques secondes tandis que d'autres duraient plus de temps ! Je ne sais pas quel manège ils avaient inventés pour pouvoir sortir du cours tour à tour mais je m'en foutais ! Pendant deux heures, j'avais des queues à sucer et des paires de couilles à vider ! Le premier m'avait prévenu qu'il avait deux semaines de jus dans ses bourses, imaginez un peu la dose de foutre, il gicla sur le mur derrière moi, et m'en collai même dans les cheveux ! La pression de son éjac était purement énorme !

Ils étaient tous peu bavards, je pense qu'ils avaient un peu honte, moi ça me faisait plutôt marrer. Je retiens notamment la sixième queue, celle d'Abdoul, je pense qu'elle faisait bien 23cm, mais j'ai réussi à la gober en entier, j'en reçu même ses félicitations. Un autre pote, tout petit, il doit faire 1m68, m'a sorti un zob d'une épaisseur très imposante, un peu moins de 6cm de large, c'est l'unique que je n'ai pas pu prendre à fond dans ma gorge, mais je lui ai assuré que dans d'autres positions, ce serait grandement possible !

12h00 arriva péniblement, je peux vous dire qu'au bout de dix queues, très voraces sois-je, j'en avais un peu marre ...

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La fin dimanche prochain :)

Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo... : 2ème Partie

Suite du récit hot de Jared Newborn "Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo..."

Si toi aussi tu as une histoire à partager, contacte moi !

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J'étais bourré, lui bien pété aussi, je me suis demandé ce que j'avais à perdre. La réponse était rien. Alors j'ai ouvert la porte tout doucement, puis lui ai balancé "Prêt p'tit éjaculateur précoce ?". Il me répondit tout en déboutonnant son jean Levis "On va voir ça !".

Il portait un boxer blanc imbibé de tâches jaunes, quel porc ai-je pensé ! Tout propre à l'extérieur mais dès qu'on déballe, on voit la vraie personnalité du mec. Je commence donc à passer ma main sur son ventre pendant qu'il finit de se débrailler pour sortir l'engin du désir ! Erreur ! Je me suis pris une de ces baffes. "Hé Hé ! J'suis pas gay moi, tu me suces et c'est tout, compris ?". Tu ne pouvais pas être plus clair cher Théo, je te suce et basta ! J'ai pas été très finaud sur le coup, c'est pas mon mec quoi, juste un pote que je suce dans les chiottes pourraves de notre bar étudiant. Mais l'alcool fait faire beaucoup de choses...Regardez Théophile ! Adulé par toutes les nanas du campus, un corps de rêve et qui est-ce qui le suce dans les chiottes ? C'est Jared !

Trêve de plaisanterie, passons aux choses sérieuses : sa teub ! Je suis assis sur les chiottes pendant qu'il déballe sa marchandise juste à hauteur de mon visage ! Quel spectacle. Il me sort une demi molle, pas très longue mais avec une putain de paire de couilles totalement impressionnante. Jamais vu deux aussi beaux œufs sous une bite, pourtant j'en ai croisé quelques unes déjà. Je commence donc par lui lécher ce qui m'a attiré du regard, ces deux belles couilles que je pris chacune en bouche puis les deux à la fois. D'une main je tenais sa teub qui prenait peu à peu du volume, avec l'autre main, je n'osais pas titiller son trou, il aurait juté trop vite ! Et je me serais prix une autre mandale aussi. Après ce bon léchage de couilles, totalement rasées au passage, je m'attaquai à son sexe dressé vers le haut et légèrement courbé vers le bas qui avait atteint pour sa pleine érection un bon dix huit centimètres, j'étais pas déçu ! Je m'empressai alors de lui téter la queue. D'abord lentement, lui léchant du bout de la langue le gland et toute la longueur de la bite. Puis je commençais à le sucer réellement, c'est à partir de cet instant que des petits couinements vinrent à mes oreilles. Je faisais des va-et-vient avec une fréquence variable. Tantôt vite, tantôt lentement, il aimait ça. Et puis comme promis, je pris tout en bouche, pour lui montrer à quel point je suis bon suceur et que je ne mens jamais ! La forme de sa bite est parfaite pour les gorges profondes, je m'en donnai donc à cœur joie et restai parfois une dizaine de secondes bien empalé sur sa teub de jeune petit fils à papa.

A peine cinq minutes de suce auront suffit à lui faire monter le jus. Ses gémissements s'accéléraient tout comme son souffle, je continuai alors la fréquence du mouvement de suce, qui était assez rapide, puis vînt poser délicatement son gland turgescent entre mes lèvres. Je plantai alors mon regard dans le sien. Il était totalement groggy. A tomber ce petit mec ! Puis continuant à gémir comme un fou, je commençais à recevoir plusieurs rasades de foutre dans la bouche, ça dura quelques secondes tant sa jouissance était forte et importante. Je ralentis alors le mouvement de branle, et vînt serrer le bout de sa queue afin de faire tomber les dernières gouttes du précieux liquide qu'il m'avait offert. J'avais donc en bouche ce merveilleux jus, mon regard toujours planté dans le sien et ma main sur sa queue qui commençait à se ramollir. Il ne savait pas quoi dire, il était encore sous le choc de la jouissance. Ne le lâchant pas des yeux, je lui montrai tout le contenu de ma bouche puis l'avalai. Pour ensuite lui montrer à nouveau le contenu vide de son sperme de ma bouche. Il a juste lâché un "Wahou !". Puis reprit ses esprits. Le choc après le coït. Il avait joui, tout était redescendu, il a alors repris sa queue pour la remettre dans son pantalon, l'a reboutonné et est sorti de la cabine sans plus un mot. J'aurais aimé qu'il me donne ses impressions avant de partir ou qu'il me dise que cette histoire reste entre nous. Mais non. Il n'en fut rien.

Personne ne s'était apparemment rendu compte de ce manège, et nos deux absences qui ne pouvaient que paraitre louches. Mais bon, c'est mieux ainsi. J'ai donc rejoint la table de mes amis, les affaires de Théophile avaient disparu, on m'a dit ensuite qu'il était parti, il se sentait pas super bien...Pfff, ces hétéros ! Incapables d'assumer quoique ce soit ! Je m'en foutais, il était pas super tard, et la soirée continuait de plus belle. Mais dans ma tête, je ne pouvais pas m'empêcher de penser à Théo et à ce départ précipité.

Je rentrai chez moi à 3h30 du matin, la tête complètement éclatée et le gout de sperme dans la gorge ! Ce fut une bonne soirée finalement ! Pour une fois que je peux mêler fête étudiante et sexe, c'est génial ! J'allumai mon computer en arrivant chez moi, oui j'ai un côté geek aussi...Rien d'anormal mise à part un message d'un certain Théo sur mon Facebook. Ni une, ni deux, je m'empressai d'aller l'ouvrir pour voir ce que nous dit l'hétéro déchu. ...

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La suite dimanche prochain ;)

Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo... : 1ère Partie

Comme promis, voici la nouveau récit de Jared Newborn "Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo..."

Si toi aussi tu as des récits sympas à faire partager, contacte moi !

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Je m'appelle Jared, j'ai 22 ans et je suis depuis quelques mois la pute, l'esclave et le vide couilles de toute ma promo.

Je suis étudiant en 3ème année de Droit à la faculté de Besançon dans l'Est de la France, je suis gay, pas exubérant, mais je pense que tout le monde dans ma promo, est au courant que je préfère les queues aux chattes ! On doit être une quarantaine cette année dans la promo, dont la moitié sont des mecs. Pour la plupart des fils à papa, bien sapés, belles gueules en général. Avec le fric, on peut tout avoir. Moi j'ai ramé pour en arriver là, mes parents ne sont pas des bourges mais je m'en sort quand même.

Ça a commencé un jeudi soir, lors d'une soirée étudiante dans un bar, le Latin. Il était tard, on avait tous un peu bu, et puis les conversations se dirigeaient comme bien souvent sur du cul, de la bite et à mon grand désespoir de la chatte ! Malgré tout, j'aimais beaucoup ça, parce que mes camarades parlaient de la manière dont ils baisaient leurs meufs, et à chaque fois je riais intérieurement. Ils étaient fiers de tenir vingt minutes, mais bordel ! Elles doivent se faire chier leurs nanas ! Et ce soir là, le sujet principal était la pipe...Je sais pas si c'est vrai mais il parait que les meufs ne raffolent pas de ça. En tout cas pas les leurs. Et j'ai pas pu m'empêcher de rire à cet instant là parce que pour nous pédés, bah la pipe, c'est un peu la base de tout. Personnellement, je pourrais pas vivre sans sucer ou me faire sucer ! Ce serait terriblement emmerdant ! Alors, j'ai ri. Et tout le monde, c'est à dire une dizaine de mecs de ma promo, m'ont demandé pourquoi je riais comme un tordu.

Je leur ai répondu que je croyais que c'était une grosse blague. Mais je me suis aperçu avec ce silence que les mecs étaient sincères et ne racontaient pas des conneries. Ils m'ont alors pris à partie et demandé comment ça se passait chez les gays. Je leur ai donc expliqué ce que je faisais et mes capacités buccales, leur disant que j'étais un expert en gorges profondes (ce qui n'est pas faux et vérifiable) et que j'aimais beaucoup le jus. J'ai vu dans leurs yeux pétiller, c'était peut être l'alcool, je ne sais pas...Mais je pense qu'ils aimaient simplement le fait que je leur parle de ça et aussi ils devaient imaginer leur nana avec sa tête bien empalée sur leur teub. Je kiffais les faire fantasmer de la sorte ! En général, ce genre de discussion s'arrêtait là, mais je sentais que ce soir, ils voulaient en savoir plus sur moi, et sur ma sexualité. Je leur ai donc parlé de mes penchants pour la soumission et les choses de ce genre. Et à la fin de la conversation, Théophile me dit qu'il me croit pas du tout pour la fellation, et me demande combien j'ai déjà pris en gorge bien à fond. Et sans me défiler, je lui balance "Oh au moins le double de la tienne !". Les autres mecs l'ont alors hué, pour une fois que le gay faisait la loi ! C'est assez rare pour être souligné. Et après ces intéressantes paroles, la soirée a repris comme si de rien n’était, et les discussions partaient et volaient dans tous les sens.

A un moment alors que j'avais déjà pas mal bu, j'avais une envie de pisser du tonnerre, je rentrai donc dans les chiottes au fond du bar. J'entrai dans une cabine fermée, et me soulageai rapidement. Pas si rapidement que ça, puisqu'au bout de dix secondes, on toquait à la porte, et j'entendis "Alors p'tit pédé, tu me montres comment tu suces ?". C'était la voix grave de Théophile. Et puis là, le doute s'installa. J'en profite, j'en profite pas ? J'étais bourré, lui bien pété aussi, je me suis demandé ce que j'avais à perdre. La réponse était rien. Alors j'ai ouvert la porte tout doucement, puis lui ai balancé "Prêt p'tit éjaculateur précoce ?". Il me répondit tout en déboutonnant son jean Levis "On va voir ça !"...

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La suite dimanche prochain ;)

Le Plombier : 2ème partie

Vous l'attendiez, voici la seconde et dernière partie du récit "Le Plombier" de Jared Newborn

Dès Dimanche prochain, retrouvez un nouveau récit X de Jared intitulé "Comment je suis devenu le vide couilles de ma promo"

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A cet instant, je me suis dit que finalement, je passe surement à coté de quelque chose. Et vu la taille de ce mec, je pense que je n’ai pas trop intérêt à résister. J’approche doucement ma main et caresse cette énorme matraque noire.
Violemment, il me prend par les cheveux d’une main et prend ma main de l’autre et approche ma bouche de sa queue. Elle avait un gout âcre mais cela ne me déplaisait pas. J’obéissais et léchais son gros gland humide qui commençait à grossir. Il décida ensuite d’enfoncer son énorme bite dans ma petite bouche de tapette comme il le disait si souvent. Il forçait le passage pour me l’enfoncer le plus loin et le plus profond possible. Je commençais à étouffer et à baver :
  - Stop, arête, c’est beaucoup trop gros pour la prendre en fond de gorge !
  - Ta gueule sale pute et suce moi la bite putain ! Je t’ai demandé de dire quelque chose ? Non, alors ferme là !
Il me lima alors la bouche en rythme en me tenant par les cheveux et en m’insultant de tous les synonymes de pédé qu’il existe dans le langage français. « Aller petite pute suce à fond ouais ! » « T’aimes ca les grosses bites de blacks hein ? » « Allez pompe comme une chienne ouais ! ». Ces grosses boules cognaient contre mon menton plein de salive. Je dégoulinais réellement de partout, je me trouvais dégueulasse à cet instant.
De temps en temps il ressortait sa queue et me frappait le visage avec en me mollardant et en étalant avec sa bite qui maintenant dégoulinait de bave. Puis il me dit de sucer tout seul. D’intégrer son rythme sans qu’il ait à me tirer par mes cheveux, qu’il finirait par m’arracher à force. Je fis alors de long va et vient sur sa bite tout en me faisant recouvrir de mollards. Il grognait de plaisir et moi je couinais comme une pute, même si je me trouvais sali et humilié à cet instant. Au bout de quelques minutes de va et vient, il reprit ma tête et accéléra le mouvement en grognant de plus en plus :
  - Vas-y salope ! Putain je vais te remplir ta gueule de foutre ! Tu vas en bouffer du jus de black sale pute ! T’en aura jamais vu autant, je vais te noyer sous ma dèche !
Il me fit ouvrir la bouche et me juta sur la langue tendue un jus épais et abondant. Je me remis ensuite à le sucer avec son jus en bouche. Sa grosse queue baignait dedans mais ne diminuait pas de volume et de taille. Il me força à avaler son jus épais, il avait un gout âcre mais pas déplaisant. Il ressortit sa bite et me fit nettoyer les dernières traces de jus en ne le lâchant pas du regard.
Je croyais qu’il en avait fini avec moi mais sa queue restait dure et il me regardait encore d’un air vicieux…Il me réservait encore d’autres choses…Et comble du hasard, c’était mon dernier rendez-vous de la journée.

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Retrouvez l'intégralité du récit ICI

Le Plombier : 1ère partie

Bonjour à tous :)

Aujourd’hui, j'inaugure une toute nouvelle rubrique

Il s'agit des Récits X

C'est une rubrique où vous pouvez participer en m'envoyant vos récits, qu'ils soient réels ou fictifs

Pour ce premier récits, je vous propose celui de Jared Newborn nommé "Le Plombier".
Un jeune plombier doit aller réparer une fuite chez un beau black ... Je vous laisse lire la suite ;)

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Je m’appelle Esteban, je suis apprenti plombier. Je suis encore très jeune, et évidemment je suis passionné par la bite. Tout ce qui tourne autour de cela m’enchante et me fait frétiller. Depuis quelques temps mon patron a décidé de m’envoyer seul chez les gens afin que je puisse prendre plus d’assurance en moi-même. Bref, je vais vous raconter ma première visite chez un client un peu particulier.
La fin d’après-midi arrivait et mon patron a reçu un coup de téléphone d’un client dont la salle de bain avait une fuite. Comme d’habitude il m’a gentiment envoyé là-bas. Je me prépare et file voir cette fameuse salle de bain. Arrivé sur place je sonne et attend quelques minutes avant que la porte ne s’ouvre sur un mec plutôt jeune, grand et couleur chocolat. Il ne portait qu’un jogging qui laissait deviner une bosse assez impressionnante déjà.
J’ai immédiatement rougi et repensé aux rumeurs sur les blacks, ce qui a semblé le faire sourire. J’avais en effet jamais tenté les blacks. Voyant ma gêne il me dit d’entrer et me montre sa salle de bain. Je commence à regarder sa baignoire et il me laisse un moment. Effectivement, il y avait une petite fuite mais rien de bien grave. Au bout de quelques minutes je vois mon client revenir et me parler un peu. J’étais accroupi et lui debout. Sa bosse venait me narguer au niveau de mon visage, ce qu’il semblait apprécier. Pendant qu’il parlait il jouait un peu avec sa bite en la déplaçant et la replaçant.
  - Tu as quel âge ? Tu es bien jeune pour être déjà plombier.
  - J’ai 18 ans mais je ne suis encore qu’apprenti. C’est seulement la cinquième fois que l’on m’envoie seul chez un client.
  - Ok t’es encore un gamin…T’en as pour longtemps encore le mioche ?
  - Euh je dirais encore 30 minutes environ. Mais rien n’est jamais sûr avec ces tuyaux.
  - Ah merde faut absolument que je pisse, je ne tiens plus…Alors écoute je vais pisser et tu n’as qu’à pas regarder. Tu crois que tu vas réussir ? me dit-il avec un sourire en coin.
Il me dépasse et s’installe devant ses chiottes et là il sort sa queue qui était véritablement énorme ! Encore molle mais déjà très longue, d’un noir sombre et avec un long prépuce qui couvrait un gland un peu moins épais que la base de sa queue. Il vit mon regard, se décalotta et commença à pisser devant moi. Je restais ébahi devant la taille de cette matraque et, lui continua à pisser comme si de rien n’était avec un regard vicieux. Puis il s’arrêta un instant :
  - T’en as jamais vu d’aussi grosse hein petit pédé ?
  - Euh non. Jamais non…
  - Et ça t’impressionne ?
  - Assez oui. Même si je n’en ai pas vu tant que ça dans ma vie.
  - Tu n’imagines pas comme je fais couiner les mecs quand je les défonce avec. Ils hurlent et pleurent leur mère.
  - Euh…Je…
  - Je suis sûr que t’es une petite pédale toi !
  - Non non. Euh, pourquoi tu dis ça ?
  - Tu veux la toucher ma grosse bite ?
  - Euh non non merci. Franchement, je ne fais pas ça, pas pendant mon travail.
  - Tu viens donc d’avouer mec ! Tu dis que tu ne fais pas ça pendant ton travail, mais ça veut dire que tu le fais. Vas-y touches putain !
A cet instant, je me suis dit que finalement, je passe sûrement à coté de quelque chose. ...

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La suite dimanche prochain ;)