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J'aime les fêtes de fin d'année ! - Partie 2 : Nouvel An

Le 31 décembre arriva lentement alors qu’il y a quelques jours, j’étais à la merci de mon beau-frère, soumis à ses vingt-quatre centimètres de queue, à ses pieds immenses et à la puissance de ses muscles… Et avec qui allais-je passer ce soir de réveillon ? Avec lui entre autres, et chez lui de surcroît… La fête allait battre son plein !

J’arrivais un peu en retard ce soir-là, si bien que les deux couples invités par ma sœur et mon beau-frère étaient déjà présents lorsque je sonnai à la porte. C’est Mathieu qui se précipita pour m’ouvrir, il me salua comme d’habitude ; une poignée de main qui s’accompagna cette fois-ci d’un clin d’œil qui m’a fait sourire. Il m’a alors fait entrer, j’ai posé mes affaires dans l’entrée pour aller saluer les convives que je n’étais pas censé connaître. Je m’aperçus alors très vite que la femme d’un des couples était enseignante dans le même lycée ou je travaille. J’allais pouvoir bavarder avec elle, j’appréhendais en effet cette soirée, étant donné que je n’avais aucune information sur les invités et étant donné la beaufitude de Mathieu, je m’attendais au pire ! Mais tout va se passer pour le mieux…

« Je vais t’aider à monter tes affaires dans la chambre p’tit frère ! J’ai préparé ton lit et ta chambre » dit ma sœur qui avait mis les petits plats dans les grands pour ma venue. C’était la toute première fois que je venais dormir ici.

« Non chérie, laisse donc, ne bouge pas, je vais m’occuper de montrer sa chambre à Jared, tu t’es déjà donné assez de mal à tout préparer le repas, je peux faire ça… » Rétorqua Mathieu, qui était d’une humeur particulièrement joviale ce soir. À quoi s’attendait-il ? On ne va pas avoir la chance de dormir dans le même lit à chaque fois. À moins qu’il se mette totalement minable et que ma sœur exaspérée lui dise d’aller dormir dans le canapé. Mais quand bien même, il ne va pas venir dormir avec moi, cela paraîtrait louche. On monta alors, lui et moi, à l’étage, pour déposer mes affaires dans la chambre d’ami. Il me dit alors : « Retire ton jean et ton caleçon et remets ton jean, je veux voir ta grosse bite se balader le long de ta cuisse, et n’oublie pas, tu es ma salope ! » me dit-il juste avant de fermer la porte. Je m’exécutais donc avec un peu de honte mais surtout beaucoup d’excitation. Puis je redescendis tranquillement les escaliers pour rejoindre tout le monde.

La soirée reprit alors corps, l’apéritif, puis le repas succulent que ma sœur avait préparés. Le fameux passage à l’année suivante eut lieu pendant le dessert. Les baisers ainsi que les vœux s’échangèrent alors entre tous, Mathieu me fit même la bise pour l’occasion, ce qui fit beaucoup rire ma sœur, un hétéro pareil, taper la bise à son frère homo, relevait en effet de l’irréel. Si elle savait où il avait fourré sa queue la nuit de Noël… Enfin… Trois heures sonnèrent, et les bouteilles d’absinthes totalement vides, les deux couples d’un commun accord, prirent la porte non sans aider ma sœur à ranger un peu. Ils partirent me laissant seul homme face à Mathieu. On aida alors aux derniers rangements qu’il restait à faire, l’essuyage de la vaisselle était pour Mathieu tandis que je passais l’aspirateur. Ma sœur dit alors qu’elle était totalement lessivée et qu’elle montait se coucher. Mathieu proposa alors une bière devant la télévision, j’aurais été vraiment bête de refuser. Ma sœur partit donc se coucher dans la chambre à l’étage, tandis que Mathieu amena deux bières sur la table du salon, alluma la télé et mis la chaîne des sports ! Génial, j’adore…

« Je n’ai pas arrêté de mater ton paquet pendant l’apéro tout à l’heure, c’était trop bon de voir ta queue totalement libre dans ton jean, mais tu peux tout retirer et te mettre à quatre pattes devant moi maintenant ! »

Encore une fois, j’exécutais ses ordres, je ne me voyais pas faire autre chose de toute façon. Et puis une telle queue, cela ne se refuse pas ! Je lui demandai tout de même si ce n’était pas dangereux, que ma sœur pouvait arriver à tout moment. Il confirma, on comata alors quelques minutes devant la télévision attendant que la maison soit dans le silence le plus éloquent. Puis il me dit que c’était bon désormais, que je pouvais faire ce qu’il m’avait demandé.

Je retirai donc ce qu’il me restait comme vêtements, c’est-à-dire une chemise, un jean et ma paire de chaussettes blanches, les chaussures étant restées dans l’entrée. Je me retrouvais donc nu devant l’Homme, je me positionnai alors à quatre pattes face à lui, il me dit de me retourner, je lui présentai donc mon cul rasé de la veille. J’eus droit à un «Bonne chatte ! » pendant qu’il commençait à me titiller le trou. Il prit alors sa bière, en versa un peu sur le bas de mon dos pour que mon trou soit humidifié. Il continua l’exploration de mon cul en y mettant un doigt puis deux, c’était une situation si excitante que je me retins de ne pas gueuler ma satisfaction. Malgré tout, je poussais quelques gloussements de plaisir afin de lui montrer que ce qu’il m’imposait était pour moi un pur délice.

Il m’ordonna ensuite de me retourner, je me retrouvais encore face à lui, totalement nu et offert, mon cul était encore bien ouvert et ne demandais qu’une seule chose : se faire ramoner par sa belle et grosse bite, qu’il claque ses couilles contre les miennes, qu’il me prenne aussi sauvagement que la dernière fois ! Il était là, avachi sur le canapé, une bière à la main et encore totalement habillé. Il sortit alors son engin déjà bien bandé qu’il me dit de sucer. Il semblait absorber par les programmes de sport à la télévision pendant que je lui offrais des gorges profondes à en faire pâlir les plus grandes stars du porno, mais je sais qu’il aimait ce que je lui infligeais. Il matait toujours la télévision alors que sa main vint se poser sur le dessus de ma tête, il attrapa mes cheveux pour donner le rythme qu’il voulait pour la fellation que je lui donnais, un rythme assez rapide. Puis il retira d’un seul coup le hochet de ma bouche.

« Assez de gamineries, passons aux choses sérieuses » lança-t-il. Ma queue se mit alors à frémir, j’allais enfin pouvoir me prendre à nouveau sa belle bite bien au fond de mon fondement. Il me dit alors de rester dans la position ou j’étais, à quatre pattes, ma tête en direction du canapé. Il prit tout de même la peine de retirer sa chemise blanche, son jean ainsi que son boxer. Il ne lui restait que ses chaussettes de sport sur ses pieds puants et ses mollets poilus. Il passa alors derrière moi, prit ma tête pour l’enfoncer dans le canapé en cuir. Il alla chercher un bon mollard qu’il cracha dans sa main et qu’il passa ensuite sur sa grosse queue déjà bien mouillée de la pipe que je lui avais offert auparavant. Je passai mes doigts sur mon cul, pour voir si celui-ci était lubrifié, il retira alors ma main avec violence. Il posa son gland épais sur ma chatte. Il me susurra alors ces mots à l’oreille « Ce soir, tu vas prendre cher, évite d’hurler ! » avant de s’enfoncer d’un coup d’un seul au fond de mes entrailles. Je hurlais dans le canapé tant la douleur était intense. Il resta immobile durant quasiment une minute, il devait jubiler intérieurement. Briser en deux un petit pédé rien qu’avec sa queue, ça le faisait bander au plus haut point, j’en suis convaincu. Puis le pilonnage intensif prit le dessus. Il m’encula comme jamais on ne m’avait encore enculé, d’une force, d’une puissance, d’une intensité sans nulle autre pareille. J’avais toujours la gueule bien enfoncé dans le canapé, afin que mes cris puissent être cachés. Puis il sortit de mon cul, il me dit de venir le pomper. Je m’exécutai alors sans broncher, tant je dépendais de sa queue. Ce connard aurait pu tout me demander, tant qu’il m’enculait sans ménagement, j’aurais été d’accord. Je le pompai alors comme la chienne que je suis, à quatre pattes devant lui toujours, j’avalais goulûment sa queue, j’alternais gorges profondes et pipe basique, il semblait adorer ça.

Le second round eut lieu quelques minutes plus tard, il me dit de me lever, et en fit de même, puis on alla dans la cuisine, il me dit de poser mon cul sur l’évier. Sans nulle hésitation, je m’empressai de le faire, il vint alors m’embrocher telle une pute. Il avait prévu son caleçon afin d’étouffer les cris qui pourraient sortir de ma bouche. Il m’avait donc enfoncé son boxer dans celle-ci, et pendant ce temps-là sa queue besognait mon cul. Après l’évier, il me porta pour me placer contre le mur, sa bite toujours en moi, il m’encula tout en me portant, c’était réellement divin. Une fois ses bras ne pouvant plus supporter mon poids, il me plaqua au sol, face à lui. Je pouvais observer son torse bien dessiné, poilu à souhait, son visage rempli de sueur, des gouttes perlaient sur son front et son sourire en disait long sur le bien que mon cul lui procurait.

Les mouvements s’accélèrent encore plus en moi, puis il retira le caleçon de ma bouche, il resta face à moi, sorti sa queue de mon cul, la prit en main et la branla à tout va. C’est alors que je pus voir tout son bon jus exploser sur mon torse, les premiers jets atterrirent même sur mon visage. Je me délectais alors de ce sperme qui avait un goût trop âcre pour être dégusté en quantité. Avec ce torrent de sperme répandu sur ma queue et mon torse, il prit ma queue en main et commença à me branler lentement. Au même moment, il rentra sa queue dans mon cul et resta planté là. Mon sperme jaillis à son tour sur mon torse également, le premier jet allant même s’écraser sur la faïence de la cuisine. J’étais donc là, allongé au milieu de la cuisine de ma sœur, totalement recouvert du sperme de son mec et du mien…

Sa queue était toujours en moi, et j’ai compris que les spasmes de ma jouissance l’avaient excité grandement. Il avait à nouveau une gaule impressionnante… « Celle-là, c’est pour ta sœur petite salope de mes deux ! Nettoie tout ça, je ne veux pas qu’elle se doute de quoique ce soit demain. Dépose mes vêtements dans la salle de bain du premier étage. Et fais de beaux rêves ! » Dit-il aussi calmement que les premières paroles qu’il m’avait énoncés en début de soirée.

Je pris alors une quantité phénoménale d’essuie-tout afin d’éponger tout ce jus, je vérifiai les traces sur le parquet ou la faïence, puis me rendit au salon, les bières restaient encore à moitié pleines, je les vidai avant de les jeter. Je pris alors ses fringues, les miennes, je mis les siennes dans la salle de bain. Je gardai tout de même son caleçon, comme une petite vengeance, et allai alors dans ma chambre totalement épuisé, cassé en deux. J’étais totalement vidé et pourtant, les cris que poussaient ma sœur et les gémissements bestiaux de Mathieu dans la pièce d’à côté commencèrent à se faire réveiller ma queue. Je me branlai donc après tant de plaisir reçu, tout en mettant plusieurs doigts dans mon cul. Nous avons joui les trois quasiment simultanément, et j’ai encore jouis des litres de jute… Puis le silence, je m’endormis très vite épuisé par tant d’assauts.

Aujourd’hui, je me branle encore tout en sniffant le calcif de Mathieu et en repensant à sa queue totalement énorme et la manière dont il aimait me bourrer le cul avec. Malheureusement, de telles occasions ne se représentent que très peu souvent… C’est depuis ce jour que j’aime les fêtes de fin d’année, vivement celles de l’an prochain.

Récit par Jared Newborn en exclusivité pour Le SexBlog de GayTom

J'aime les fêtes de fin d'année ! - Partie 1 : Noël

Les fêtes de fin d’année arrivaient tranquillement… Et je n’aimais pas ça… Ce sont toujours les mêmes choses, on se goinfre, on boit beaucoup et bien souvent malgré les sourires forcés, on s’ennuie à en mourir…

Sans déroger à la règle, Noël se passera chez mes parents, avec ma sœur, Mathieu, son beauf de copain ainsi que mes deux petits frères pour le 24 au soir. Le jour de Noël, toute la famille sera là, avec trente personnes au total ! Youpi… J’avais juste à amener le dessert pour le soir, c’était donc assez simple, je dormirais dans mon ancienne chambre chez mes parents tandis que ma sœur et son mec dormiraient dans le salon. Je n’allais tout de même pas leur donner ma chambre ! Je dois tout de même vous parler du mec de ma sœur, oui mon beau-frère si vous voulez… Mais je ne le considère pas ainsi ! Il a la trentaine, un bon mètre quatre-vingt-dix, très macho sur les bords, limite homophobe, il me prend à chaque fois de haut, il sait que je suis pédé, et je pense que ça l’excite au fond de lui ! Que je ne baise pas de femmes, ça doit le titiller ! Ce mec est viril à souhait, un torse bien dessiné et poilu comme jamais je n’avais vu auparavant, des pieds immenses, il m’a dit chausser du 48, et une odeur musqué qu’il trimbale en permanence. De visage, il a l’air bourru, pas spécialement aimable. Enfin, je pense que ma sœur prend cher à chaque fois qu’il la saute, avec son mètre cinquante. C’est débile à dire, mais ce mec, malgré le fait qu’il me dégoûte, m’attire. C’est un monstre dont j’aimerais bien qu’il vienne hanter mes nuits !

Le jour d’avant Noël arriva, et je vins chez mes parents vers dix-huit heures, histoire de poser mes affaires dans la chambre de mon enfance, me préparer pour la soirée et prendre une petite douche également. Ce fut donc retrouvailles avec mes parents et mes frères. Ma sœur et son homme des cavernes n’étaient pas encore arrivés. Je me décidai donc à aller prendre une petite douche, histoire de me rendre présentable, mes affaires sous le bras, j’investiguai donc la salle de bain qui se trouvait juste à côté de ma chambre. Je pris tranquillement ma douche, une fois sorti, je fus surpris par ce gros porc de Mathieu qui était entré dans la salle de bain pour poser le vanity de ma sœur. Et là lui comme moi ne savions plus ou nous mettre. J’étais totalement à poil avec une serviette sur mes épaules, et lui était là tout habillé. Il me dit « Joli p’tit cul ! » en se marrant, et il sorti tranquillement sans rien dire d’autre…Je suis resté coi quelques secondes, je ne savais quoi penser de cette intrusion ! Mise à part que la prochaine fois, je penserais à fermer à clef.

La soirée passa donc, puis plats après plats, Mathieu et moi buvions pas mal, il faut dire que mon père a pour habitude de beaucoup verser. Si bien qu’à la fin de la soirée, les femmes et les enfants allèrent donc se coucher, on resta donc mon père, Mathieu et moi pour finir tranquillement l’absinthe. Puis vînt le moment du coucher, j’allais donc dans ma chambre, je me mis nu comme à mon habitude et filai sous la couette. Je fus réveillé quelques minutes plus tard par une personne qui ouvrait la porte de ma chambre, je ne fus pas inquiet. Je pensais alors que c’était ma mère ou mon père qui passait, par habitude, pour voir si j’avais éteint la lumière ou non. Mais je compris très vite qu’il ne s’agissait aucunement de mes parents.

C’est avec stupeur que s’allongea à côté de moi le gros Mathieu, me disant que ma sœur lui avait dit d’aller dormir ailleurs, tant il puait l’alcool, et vu qu’il ne voulait pas aller dormir avec l’un de mes petits frères, il vint donc vers moi. Je lui dis qu’il n’y avait pas de souci pour moi. Ce serait plutôt à lui de se faire du souci… Mais quelques minutes après ces paroles échangées, je senti sa grosse paluche tripoter mon cul, je me révoltai donc et il me dit : « En plus d’être joli, il est bien ferme, ça doit être trop bon d’y plonger sa queue. Malheureusement, ma queue est bien trop grosse pour un si petit trou… ». C’est alors que je senti dans mon bas ventre une sensation très étrange, cette tirade m’avait fait bander ! Bander au plus haut point. Et je me surpris moi-même de lui répondre, l’alcool se faisant sentir « Tu doutes de mes capacités ? ». C’est avec ces mots que je lui donnai alors toute bénédiction sur mon corps. Il prit alors une de mes mains afin de la glisser dans son caleçon déjà bien déformé par la taille majestueuse de son engin. Je fus alors surpris par le mandrin que j’empoignai, j’avais l’habitude des gros calibres, mais celui me paraissait énorme, surtout sur la largeur…

« Suce ! » retentit. Je ne me fis pas prier, je me levai un peu pour poser ma bouche sur cette queue déjà bandée au maximum. Je pris d’une main ses couilles et de l’autre, je fis le mouvement habituel de branle pendant que je suçais les dix premiers centimètres de sa belle queue. Ce manège dura un bon moment, puis il prit ma tête dans ses mains, me fit passer la tête au-dessus de sa queue, je me retrouvais ainsi accroupi entre ses jambes en train de pomper l’énorme dard qui s’offrait à moi. Les mouvement sur ma tête se faisaient de plus en plus pesants et allaient de plus en plus profond. Si bien que je me retrouvais très vite avec une monstrueuse envie de gerber. Il le comprit et relâcha ma tête, il prit sa queue en main, pour la branler, et me dit pendant ce temps-là de lécher ses couilles. Ces dernières étaient poilues à souhait, c’était donc peu agréable, mais je voulais le contenter. Je ne m’aventurai pas à goûter son trou du cul, j’avais peur de ses réactions. Quelques minutes plus tard, je reviens sur sa queue, pour la lécher de haut en bas, sa respiration s’accéléra alors, je posai mes lèvres autour de ce gland que j’imaginais violacé afin de recueillir le jus de ce bon mâle que j’avais en horreur. C’est une bonne quantité de jus qu’il lâcha dans la bouche de son beau-frère. J’avalais ce nectar que j’adorais boire à toute heure…Puis j’allai me remettre à ma place, allongé à ses côtés, satisfait qu’il ait joui, je n’aurais pas à prendre ce monstre dans mon cul. Et d’un autre côté, je dois aussi avouer que j’étais frustré qu’il ait juté si rapidement.

« Qu’est-ce que tu fous ? » qu’il me lance. Je lui répondis alors qu’il venait de jouir, que voulait-il de plus ? « Ton cul ! » me répondit-il du tac au tac. Je confirme donc, ma sœur prend chaque soir très cher, à moins qu’il profite du fait que je sois une petite chienne… Je lui ai fait comprendre que ça ne passerai pas si facilement dans mon fondement… Alors qu’il fallait du lubrifiant, il se leva alors et fila à la salle de bain, il revint avec la bouteille de lubrifiant espérée. Tu m’étonnes qu’il en ait dans son sac, vu la taille de sa bite ! Il me confia le tube et me dit de me mettre à genoux au bout du lit, de me doigter le cul et de me préparer aux assauts de son engin sur-dimensionné. C’était assez humiliant de devoir se préparer alors que monsieur me regardait tout en se paluchant la teub. A la lumière, je pus enfin apercevoir l’ampleur de ce que Mathieu avait entre les jambes, et c’en était encore plus impressionnant. Il me demanda de me mettre à quatre pattes et de continuer à me doigter, il vient alors se placer sous moi, sa bite quasiment au niveau de mon cul, ses pieds au niveau de ma main posée sur le lit. J’en étais à quatre doigts bien enfoncées, il me dit alors de lui passer le gel, ce que je fis avec précipitation, je ne voulais pas qu’il m’explose le cul…

« Lèche mes orteils » entendis-je, « J’ai toujours rêvé qu’on me le fasse, et je pense que c’est à toi que reviendra cet honneur », je ne me fis pas prier, j’aime tant ça…Surtout un bon 48. Pendant que je dégustais ses pieds, ses doigts prirent place dans mon cul. Les vas-et vient qu’il effectuait présageaient un bon baiseur, ça me rendait chienne ! Je ne vivais plus que pour une chose : me prendre cette grosse bite dans le cul. Il le comprit vite, et c’est dans cette position qu’il avait décidé de commencer à m’enculer. À ma grande surprise, il rentra doucement dans mon cul déjà bien préparé, je le sentais malgré tout s’enfoncer peu à peu bien au fond de moi, j’étais en transe, j’avais envie de faire échapper de grands cris de satisfactions, mais je savais que cela était totalement impossible. Je me retenu donc de hurler mon bonheur. Et puis, je sentis ses couilles bien pendantes frapper les miennes. Il était au fond, bien au fond. Et c’est à cet instant précis que Mathieu, cet être gras, beauf et totalement inutile se transforma en un petit bonheur dont je vais savoir profiter encore longtemps… Après ce premier allé, le rythme n’était plus le même. Il ressortit d’abord totalement sa queue d’un seul coup, avant de s’enfoncer à nouveau de tout son long. Puis son tempérament bourrin reprit vite le dessus. Il empoigna mon bassin, il y était agrippé pour être plus précis, et le faisais coulisser pour y mettre sa queue bien à fond, que je sente bien toute sa virilité en moi. On changea de positions plusieurs fois, celles-ci étaient de plus en plus avilissantes. Il me demanda même de lécher ses orteils alors qu’il était toujours planté au fond de moi. La sodomie dura des dizaines de minutes, et je dois dire qu’au moment où il a dit qu’il allait jouir, mon cul était en compote, je ne sais même pas si j’arriverais encore à marcher au lendemain. Il jouit donc une seconde fois et cette fois-ci, c’est mon torse qui eut le privilège de récupérer le précieux nectar. Cinq secondes plus tard, il me dit de « bourrer mes viandes », et il s’écroula sur le lit telle une masse. Il me laissait là, son jus partout sur moi, encore raide des assauts qu’il venait de me donner. Je le déteste.

Au lendemain, il fit comme si de rien n’était, je me réveillais, j’étais seul dans mon lit. Avais-je rêvé ? Je mis une main vers mon trou et compris très vite que ce n’était pas un rêve étant donné l’état meurtri de mon postérieur… J’allai donc prendre le petit déjeuner avec les autres, dans la totale indifférence de Mathieu. Ma sœur me demanda alors si j’avais bien dormi, je lui ai dit que j’avais été un peu dérangé par les ronflements d’un gros sac, mais que sinon, dans l’ensemble, j’avais trouvé le sommeil assez facilement. Elle me demanda aussi ce que j’avais prévu pour le nouvel an. Rien encore, Mathieu se réveilla donc de son semi-silence et me proposa de venir chez eux, ils organisaient nouvel an avec deux couples d’amis à eux, et que je n’avais qu’à dormir la bas, ils ont une chambre d’ami à l’étage. Ça promet…

Récit par Jared Newborn en exclusivité pour Le SexBlog de GayTom, merci beaucoup à lui ;)